A conceptual experiment about what it means to begin a film with a black image transforms into a subtle personal essay about the filmmaker. The story of a missionary who falls in love with a Rwandan girl blends with what images and colonial history mean to their daughter.

La Mazda jaune et sa sainteté by Sandra Muteteri Heremans immerses you in the filmmaker’s personal history and questions her relationship with images and memories. It equally reveals the story of her late father, a former missionary of the Belgian Catholic Church in Rwanda, and includes the letters he wrote as a priest to the Pope, to regularize the violation of celibacy.

Une expérience conceptuelle sur ce que signifie commencer un film par une image noire se transforme en un subtil essai personnel sur la cinéaste. L’histoire d’un missionnaire qui tombe amoureux d’une jeune Rwandaise se mêle à ce que les images et l’histoire coloniale signifient pour leur fille.

La Mazda jaune et sa sainteté, de Sandra Muteteri Heremans, vous plonge dans l’histoire personnelle de la réalisatrice et interroge son rapport aux images et à la mémoire. Il révèle également l’histoire de son père, ancien missionnaire de l’Église catholique belge au Rwanda, et inclut les lettres qu’il a écrites en tant que prêtre au Pape, pour régulariser la violation du célibat.